question N°3
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question N°3
Décrivez un test de complémentarité de manière concrète et mettez en évidence sa signification génétique.
Le test de complémentarité consiste à croiser deux souches de phénotype récessif et à observer le phénotype de l’hybride (F1). Si on récupère le phénotype sauvage, il y a complémentarité et les allèles récessifs doivent appartenir à des gènes différents. Dans l’autre cas, la F1 présente le même phénotype que la population parente et les allèles récessifs se trouvent sur le même locus.
Expérience réalisée sur des pois (cours page 127):
Le rapport 9 : 7 (rapport de complémentarité) est en réalité un rapport 9 : 3 :3 : 1. En fait, deux gènes ont des effets similaires sur la couleur des pétales.
En se rapportant au génotype, le croisement devient :
En fait, les deux lignées pures parentales représentent des phénotypes récessifs anormaux issus du type sauvage. La plupart des espèces de pois dans la nature possèdent des pétales colorés, cependant, des phénotypes albinos (blancs) peuvent apparaitre spontanément et sont presque toujours récessifs.
Donc, « l’action complémentaire de gènes aboutit à un phénotype de type sauvage lorsque deux génotypes donnant lieu chacun à des phénotypes récessifs sont associés dans la même cellule ».
« Lorsque deux génotypes d’origine indépendante donnant lieu à des phénotypes récessifs semblables ne se complémentent pas, l’hypothèse retenue est que les déterminants génétiques sont des allèles du même gène ».[center]
Le test de complémentarité consiste à croiser deux souches de phénotype récessif et à observer le phénotype de l’hybride (F1). Si on récupère le phénotype sauvage, il y a complémentarité et les allèles récessifs doivent appartenir à des gènes différents. Dans l’autre cas, la F1 présente le même phénotype que la population parente et les allèles récessifs se trouvent sur le même locus.
Expérience réalisée sur des pois (cours page 127):
Lignée pure à fleurs blanches X Lignée pure à fleurs blanches
F1 à fleurs pourpres
F2 avec 9 fleurs pourpres et 7 fleurs blanches.
F1 à fleurs pourpres
F2 avec 9 fleurs pourpres et 7 fleurs blanches.
Le rapport 9 : 7 (rapport de complémentarité) est en réalité un rapport 9 : 3 :3 : 1. En fait, deux gènes ont des effets similaires sur la couleur des pétales.
En se rapportant au génotype, le croisement devient :
Variété blanche 1 X variété blanche 2
w1w1 W2W2 W1W1 w2w2
F1 W1w1 W2w2 (pourpre)
F2 9 W1-W2- (pourpre)
3 W1-w2w2 (blanche)
3 w1w1 W2- (blanche)
1 w1w1 w2w2 (blanche)
La couleur pourpre est l’effet de la combinaison des deux allèles dominants des deux paires de gènes. La couleur blanche s’obtient si une des deux paires est homozygote récessif. Il y a donc complémentarité des gènes : l’action combinée de 2 allèles dominants de gènes différents conduit à un phénotype spécifique.w1w1 W2W2 W1W1 w2w2
F1 W1w1 W2w2 (pourpre)
F2 9 W1-W2- (pourpre)
3 W1-w2w2 (blanche)
3 w1w1 W2- (blanche)
1 w1w1 w2w2 (blanche)
En fait, les deux lignées pures parentales représentent des phénotypes récessifs anormaux issus du type sauvage. La plupart des espèces de pois dans la nature possèdent des pétales colorés, cependant, des phénotypes albinos (blancs) peuvent apparaitre spontanément et sont presque toujours récessifs.
Donc, « l’action complémentaire de gènes aboutit à un phénotype de type sauvage lorsque deux génotypes donnant lieu chacun à des phénotypes récessifs sont associés dans la même cellule ».
« Lorsque deux génotypes d’origine indépendante donnant lieu à des phénotypes récessifs semblables ne se complémentent pas, l’hypothèse retenue est que les déterminants génétiques sont des allèles du même gène ».[center]
Cécile- Messages : 1
Date d'inscription : 15/05/2010
Re: question N°3
Coucou!
Je n'ai rien à ajouter à ce que Cécile a posté, c'est complet!
Bisoux bisoux
Je n'ai rien à ajouter à ce que Cécile a posté, c'est complet!
Bisoux bisoux
val- Invité
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