question 2
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question 2
Question 2 : Comment déterminer si plusieurs allèles font partie ou non d’un même locus ? (chapitre 7)
Les gènes peuvent se rencontrer sous plus de deux formes. Le nombre total de formes
alléliques différentes dans une population d’individus est souvent très grand è situation
appelée allélisme multiple et l’ensemble des allèles impliqués constitue une série allélique.
Comment savons-nous qu’un ensemble de phénotypes est déterminé par des allèles du
même gène ? On réalise un test d’allélisme.
Le test d’allélisme est simplement l’observation de rapports mendéliens
monofactoriels pour toutes les possibilités de combinaisons.
Par exemple, pour une plante
hypothétique :
Lignée 1 è taches rondes sur les pétales
Lignée 2 è taches ovales
Lignée 3 è pas de tache.
Supposons que les croisements entre ces trois lignées donnent les résultats suivants :
Croisements F1 F2
1 x 2 Tous à taches rondes ¾ rondes – ¼ ovales
1 x 3 Tous à taches rondes ¾ rondes – ¼ sans tache
2 x 3 Tous à taches ovales ¾ ovales – ¼ sans tache
Ces résultats prouvent que nous avons ici 3 allèles d’un seul gène affectant la
formation de taches sur les pétales puisque chaque croisement aboutit à un rapport mendélien
de type monohybride. On peut ici adopter le symbolisme suivant : Sr allèles à taches rondes,
So allèle à taches ovales et s pour l’allèle sans tache.
En F2 : ¾ - ¼ à tous les allèles appartiennent au même locus.
Les gènes peuvent se rencontrer sous plus de deux formes. Le nombre total de formes
alléliques différentes dans une population d’individus est souvent très grand è situation
appelée allélisme multiple et l’ensemble des allèles impliqués constitue une série allélique.
Comment savons-nous qu’un ensemble de phénotypes est déterminé par des allèles du
même gène ? On réalise un test d’allélisme.
Le test d’allélisme est simplement l’observation de rapports mendéliens
monofactoriels pour toutes les possibilités de combinaisons.
Par exemple, pour une plante
hypothétique :
Lignée 1 è taches rondes sur les pétales
Lignée 2 è taches ovales
Lignée 3 è pas de tache.
Supposons que les croisements entre ces trois lignées donnent les résultats suivants :
Croisements F1 F2
1 x 2 Tous à taches rondes ¾ rondes – ¼ ovales
1 x 3 Tous à taches rondes ¾ rondes – ¼ sans tache
2 x 3 Tous à taches ovales ¾ ovales – ¼ sans tache
Ces résultats prouvent que nous avons ici 3 allèles d’un seul gène affectant la
formation de taches sur les pétales puisque chaque croisement aboutit à un rapport mendélien
de type monohybride. On peut ici adopter le symbolisme suivant : Sr allèles à taches rondes,
So allèle à taches ovales et s pour l’allèle sans tache.
En F2 : ¾ - ¼ à tous les allèles appartiennent au même locus.
Caro- Messages : 1
Date d'inscription : 20/05/2010
Re: question 2
Oulà j'arrive encore une guerre en retard. J'avais la question 2 aussi et je vois que 2 réponses ont déjà été postées, je complèterai si je trouve quelque chose à rajouter !
Steven- Invité
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